Lorsqu’Adélaïde quitte Élias, elle pense rapidement se remettre en couple. Mais à 46 ans, elle se rend rapidement compte qu’elle a statistiquement peu de chances de retrouver un compagnon… J’ai choisi ce 2e livre parmi la rentrée littéraire du Seuil, après Dans les yeux du ciel, parce que j’avais vu passer pas mal de fois... Lire la Suite →
« Comme un empire dans un empire » : le monde du dedans
Antoine, assistant parlementaire, doit aider son député à comprendre un projet de loi autour de la cybercriminalité. Par des amis communs, il rencontre L, une hackeuse dont le compagnon est en prison… Je ne sais pas exactement ce qui m’avait attirée dans ce roman, le premier que je lis d’Alice Zeniter, dont j’ai pourtant entendu... Lire la Suite →
« On fait parfois des vagues » : des géniteurs ou des génies
Nicolas a eu une petite enfance heureuse. Puis ses parents lui ont expliqué qu’il était né d’un don de sperme anonyme, son papa étant stérile… Chaque année à son lot de moments joyeux que l’on a hâte de voir arriver : Noël, les vacances d’été, les crêpes de la Chandeleur ou les chocolats de Pâques, et... Lire la Suite →
« Sale bourge », violence héréditaire
Pierre est l’aîné d’une fratrie de six. Il grandit dans un milieu bourgeois très aisé mais très malsain, où la violence verbale et physique est quotidienne envers les enfants… J’avais repéré ce livre dans le programme de rentrée de Flammarion à cause de son titre sous forme d’insulte, mais aussi en tant que premier roman.... Lire la Suite →
« Nature humaine », 20 ans d’histoire rurale française
Alexandre grandit avec ses trois sœurs dans la ferme familiale, dont il sait qu’il héritera plus tard. À Toulouse, il rencontre la jolie Constanze, et pour lui plaire, se met à fréquenter des activistes anti-nucléaire… De Serge Joncour, j’en reviens toujours à citer Repose-toi sur moi, le roman qui après L’Écrivain national acheva de me... Lire la Suite →
« Autoportrait en chevreuil », l’enfant (b)ondissant
Lassée du passé qui entrave leur relation, Avril suggère à Elias de consigner les détails de son enfance et de brûler le récit pour faire peau neuve… J’avais beaucoup aimé le premier roman de Victor Pouchet, déjà aux éditions Finitude, Pourquoi les oiseaux meurent, même s’il était un peu foutraque. J’avais retenu de mon échange... Lire la Suite →